Le ministre de la Communication et de la Poste, Porte-parole du gouvernement, Alain Orunla était face à la presse ce vendredi 24 janvier. Objectif : informer les professionnels des médias de la nouvelle orientation du gouvernement qui prend la décision d’instaurer une rencontre mensuelle avec les journalistes à travers une thématique dénommée Gouvernement Face à la Presse "GFP".

Au cours de ce premier rendez-vous, le ministre de la Communication et de la Poste, Porte-parole du gouvernement, Alain Orunla a fait l’état des lieux et présenté un bilan sommaire des actions du gouvernement. Pour le ministre Alain Orunla, "le peuple a eu la clairvoyance d’élire à la tête du pays en 2016, le président Patrice Talon, un visionnaire. A l’en croire, les efforts du gouvernement pour un mieux-être des populations portent déjà leurs fruits qui d’ailleurs, sont perceptibles. Conclusion selon le ministre Alain Orunla, "il n’y a plus d’éléphants blancs" au Bénin. Entre autres secteurs impactés à travers les réformes du gouvernement, il a cité le secteur de l’éducation. A ce niveau il a laissé entendre que l’instauration des cantines scolaires a permis de toucher des centaines de milliers d’écoliers qui ont de chaud repas par jour. Et que dans sa volonté de faire les choses autrement, le coût induit par l’instauration des cantines scolaires est porté à 15 milliards par le gouvernement au lieu d’un milliard sous l’ancien régime. Plus est, le ministre Alain Orunla a évoqué des secteurs comme l’énergie, avec la dette du Bénin vis-à-vis de la communauté électrique du Bénin (CEB), soit 65 milliards désormais appurée. La construction de 127 mégawatts à Maria Gléta qui permet de circonscrire le déficit énergétique, les projets asphaltage qui métamorphosent les villes concernées, le projet Assurance pour le Renforcement du Capital Humain (ARCH) ; le système partisan qui permet de faire le deuil des clubs électoraux. L’un dans l’autre, pour le ministre Alain Orunla, le verre est à moitié plein. Pour cela, il appelle les Béninois à s’unir autour de la quête du développement, préoccupation majeure du chef de l’État, Patrice Talon.