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Scandale : la sextape d'un artiste en ébats avec l'amie de sa belle-sœur diffusée sur la toile

Deo Gratias HOUNKPATIN 19/01/2024 à 19:30

Au Sénégal, l’artiste El. H. Lamine G., plus connu sous le nom de Thiaat s’est retrouvé au cœur d’un scandale sexuel après avoir couché avec l’amie de sa belle-sœur. Ces vidéos intimes ont été diffusées sur la place publique, provoquant un tollé dans l’industrie du divertissement.

En effet, Thiaat a eu des relations sexuelles avec son amante Aïcha G., qui a pris le soin des d’enregistrer la vidéo de leur séance de jambes en l’air. L’affaire a éclaté lorsque sa belle sœur Louise D. a découvert la relation. Une confrontation physique s’en est suivie, au cours de laquelle le téléphone d’Aïcha G. a été saisi par Louise D. avec l’aide de son amie Awa M. La belle sœur a exploré la galerie du téléphone de l’amante de son beau-frère et a découvert les vidéos intimes.

Louise D. a pris possession de ces images pornographiques, les envoyant ensuite à Marième S., petite amie de l’artiste. Choquée et blessée, Marième a immédiatement exigé une somme d’argent de Thiaat sous la menace de diffuser les images sur les réseaux sociaux. Pris au piège, Thiaat a versé des montants considérables, totalisant 215 000 F CFA, soit 120.000 F CFA, 70.000 F CFA et 25.000 F CFA pour éviter la divulgation publique des vidéos compromettantes.

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Cependant, l’artiste a finalement décidé de porter plainte à la division spéciale de cybersécurité le 24 novembre 2023. Le quatuor composé de Louise D., Marième S., Awa M., et un certain Mouhamadou M. G. a comparu devant l’audience des flagrants délits au tribunal de de Dakar selon la presse locale. Ils font face à des accusations graves, notamment association de malfaiteurs, extorsion de fonds, collecte illicite de données à caractère personnel, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, ainsi que violence et voie de fait.

S’ils sont reconnus coupables, Louise L. et ses complices risquent une condamnation sévère, avec une peine pouvant aller jusqu’à deux ans de prison, dont six mois ferme. Le scandale continue de secouer l’industrie du divertissement, mettant en lumière les défis croissants liés à la protection de la vie privée à l’ère du numérique.




 
 

 
 
 

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