Pour Azannaï, le Chef de l’Etat dans son discours a masqué la réalité. « Voulant se donner l’image d’un pays exemplaire sur la scène internationale, ce qui est loin d’être effectif, le pouvoir a, entre autres, affirmé à la tribune de l’ONU que le Bénin, sur la base de ses « réformes politiques », l’organisation du système partisan, la bonne gouvernance…garantit la jouissance des droits de la personne. « Or, selon Candide Azannaï, « L’allocution du Président Patrice Talon lue par Madame Mariam Chabi-Talata est une condamnable prise de liberté avec la triste réalité sous laquelle ploie quotidiennement le commun des béninois du fait de la déviance (...) du pouvoir dit la rupture... ».

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A travers sa tribune, l’ancien ministre délégué auprès du président de la République, chargé de la défense nationale a fait le tour de l’actualité en passant par les élections organisées sous l’actuel régime pour conclure que la démocratie béninoise est à mal.

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Plus loin, il reviendra sur le sort réservé aux personnalités politiques qui ont maille à partir avec la justice pour déduire que le régime de la rupture a fait des « exilés politiques ».

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Candide Azannaï comme on lui en connaît, dira que la démocratie est en berne au Bénin qui désormais est loin de garder son image d’un Etat de droit.
Rappelons que l’allocution du Chef de l’Etat a été lue par la Vice-présidente, Mariam Chabi-Talata le vendredi 24 septembre 2021 à l’Assemblée générale des Nations Unies.

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L’investigateur

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