Actualités
Tentative d'empoisonnement en RDC : Le ministre de la Justice Constant Mutamba sous protection médicale
![](local/cache-vignettes/L650xH384/constant_rdc-ccad9.jpg?1725805473)
Le ministre de la Justice en République Démocratique du Congo, Constant Mutamba, aurait été victime d’un empoisonnement, selon des informations rapportées par ses proches et relayées par les médias.
Le ministre de la Justice en République Démocratique du Congo, Constant Mutamba, aurait été victime d’un empoisonnement, selon des informations rapportées par ses proches et relayées par les médias.
« Les résultats sont tombés samedi... Il a été testé positif au poison et a l’intention de prendre des mesures sérieuses pour se soigner », ont-ils déclaré, précisant que le ministre est déterminé à prendre des dispositions urgentes pour assurer son rétablissement.
Tout a commencé au début de la semaine dernière, lorsqu’une poudre blanche suspecte a été découverte, ainsi qu’un liquide versé dans un réfrigérateur. De plus, les toilettes du bureau auraient été contaminées par un gaz irritant. Ces éléments ont rapidement conduit à la suspicion d’un empoisonnement et d’une intrusion par effraction.
Lire aussi : [Polémique en Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo conteste l’utilisation du nom "Simone Gbagbo" par France 24)>https://www.linvestigateur.info/?Polemique-en-Cote-d-Ivoire-Laurent-Gbagbo-conteste-l-utilisation-du-nom-Simone&var_mode=calcul]
Le mercredi suivant, un communiqué officiel du cabinet du ministre a révélé que la police scientifique avait découvert des preuves inquiétantes, notamment « une poudre blanche répandue à plusieurs endroits, un liquide suspect dans le réfrigérateur et une contamination des toilettes par un produit dégageant un gaz piquant ». Ces découvertes ont été suivies de traitements médicaux administrés aux membres du cabinet après des diagnostics formels.
Le communiqué mentionne également que « la porte de l’antichambre a été forcée, et le système électronique de surveillance a été réinitialisé. Des poussières suspectes ont été dispersées dans le bureau », confirmant ainsi une intrusion par effraction dans la nuit du 1er au 2 septembre. Les autorités ont ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de ces événements, qualifiés par le cabinet comme l’œuvre de « forces négatives et mafieuses ».
Cette affaire survient dans un contexte de tensions croissantes entre le ministère de la Justice et certains acteurs du secteur judiciaire, lequel nécessite, selon certains, des réformes profondes. Pour l’heure, aucun suspect n’a été identifié, mais les autorités promettent de faire toute la lumière sur cette tentative présumée d’empoisonnement.
Inter
-
Un Egyptien se déclare candidat contre le président de la Caf en 2021
5/12/2019 à 17:07L’information avait déjà été annoncée par le bihebdomadaire Botola en exclusivité. En effet, le média algérien renseignait sur les intentions de (…)
Autres publications que vous pourriez aimer
-
Côte d’Ivoire : Ouattara accorde la grâce présidentielle à 2400 prisonniers
En Côte d’Ivoire, le président Ouattara a prononcé la grâce présidentielle pour 2400 (…)
-
Togo : un humoriste et un artiste gardés à vue sur plainte d’Adebayor
La fin de la guéguerre entre l’international togolais, Emmanuel Adébayor et Gogoligo n’est pas (…)
-
Burkina Faso : Ibrahim Traoré en pourparlers avec le Togo pour l’extradition de Paul Henri Damiba
Le capitaine Ibrahim Traoré a entamé des discussions avec les autorités togolaises en vue (…)