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L’ancien ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci s’est prononcé ce jeudi sur la crise nigérienne après la chute de Mohamed Bazoum et la réaction de la CEDEAO. Il a remis en question les sanctions imposées par l’organisation communautaire contre Niamey.
Aurélien Agbénonci déplore le passage de la CEDEAO d’une mission économique à une intervention politique. "Je pense que ce n’était pas la bonne décision parce que la CEDEAO, qui a recommandé ces sanctions qui sont plutôt radicales, la CEDEAO elle-même est dans une crise identitaire. On part d’une communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, et on se retrouve dans une situation où la communauté économique est partie directement sur un terrain politique", a-t-il dit dans un entretien accordé à RFI.
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Dans ses propos, il a ajouté : "lorsque vous imposez des sanctions politiques, alors que votre rôle est de rester d’abord dans la recherche de convergence économique pour pouvoir pousser la croissance et favoriser le développement dans cet espace communautaire, forcément on arrive à une situation difficile comme celle-là. Et donc la décision était dure et conforme à un protocole qui existe, le protocole sur la gouvernance de la CEDEAO". Aurélien Agbénonci estime que le dialogue était le meilleur moyen pour une résolution de la crise nigérienne.
"Je pense que très sérieusement, on aurait dû trouver une manière un peu plus simple de régler le problème, à savoir forcer sur le dialogue, trouver des compromis, établir des échéances de retrait, des forces des responsables de ces changements, de ces ruptures dans l’ordre constitutionnel. C’est des choses qui ont déjà fonctionné dans le passé, mais je crois qu’on est allé un peu trop fort, et quand on va trop fort parfois ça ne marche pas", a-t-il regretté.
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