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Dans l’entendement des prisonnières Kenyanes, être privé de liberté ne signifie pas être privé de rapports sexuels. Elles l’ont clairement fait comprendre à leur gouvernement en réclamant ainsi la possibilité de tenir des rapports sexuels avec leurs chéris quand ces derniers leur rendraient visite. Une requête plus qu’étonnante quand on sait que le souhait de tout prisonnier est de recouvrer sa liberté afin de vaquer à ses occupations. « Ce n’est pas parce qu’on a été jugé coupable d’un délit ou d’un crime et condamné à une peine de prison que nos organes génitaux disparaissent », a indiqué une prisonnière à Kifili, une ville du Kenya. A travers un message, nous renseigne Gagnoa, la porte-parole de ces prisonnières demande au gouvernement de faire voter une loi qui rendrait la chose possible.

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Ulrich LAWSON

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