La découverte du corps inanimé d’une fille de 18 ans dans l’enceinte du Palais royal de Glazoué dans la première semaine du mois de novembre a mis toute la ville en ébullition. Sa Majesté Arolouwi qui parle de montage a condamné l’acte. La police républicaine est également sur les enquêtes pour mettre la main sur les auteurs.

En effet, cette sombre nouvelle a été rapportée par le Journal la Nouvelle Gazette dans sa parution 1071 du lundi 11 novembre 2019. Selon le quotidien, les détracteurs de sa Majesté Arolouwi ont profité de la découverte macabre du corps d’une jeune fille de 18 ans dans sa cour pour régler leurs comptes avec lui. Qui aurait pu venir commettre cet acte, s’interrogent le Roi et sa Cour ? Selon d’autres sources, la police républicaine aurait déjà mis la main sur l’un des criminels et les enquêtes se poursuivent. C’est dans la nuit du mercredi 06 novembre 2019 que les auteurs de l’assassinat de la jeune fille, élève en classe de seconde ont commis l’acte, apprend-on dans les colonnes du même journal. On ignore les principales raisons pour lesquelles la maison du Roi, sa Majesté Arolouwi a été identifiée par les auteurs pour le dépôt du corps de la jeune fille, froidement abattue. La police républicaine de la commune de Glazoué aurait déjà mis la main sur l’un des criminels, en attendant de retrouver le complice qui serait en fuite. Dépassé et outré par l’acte posé, le Roi a condamné l’acte et parle d’un montage de ses détracteurs pour déstabiliser son Palais. Alertés le jeudi 07 novembre 2019, jour de la découverte du corps, les habitants de la commune de Glazoué ont été abattus par la triste nouvelle et tout le monde condamne cet acte à la limite barbare. Contrairement au maire de cette commune, Jacques Dagoué et son conseil qui sont restés indifférents, confie le Journal dans ses colonnes.
Cette situation si délétère, est indicible et le Roi, sa Majesté Arolouwi craint pour sa sécurité.
Par ailleurs, rapporte le Journal, début octobre, sa Majesté Arolouwi a fait une sortie médiatique invitant les filles et les fils de Glazoué à l’union pour le développement de la commune. Et, renchérit le Journal, « il est devenu l’homme à abattre encore qu’il a apporté son soutien au PAG du président Patrice Talon ». Sa sortie n’était pas du goût de ceux qui ont des avis contraires à ceux du régime en place. D’ailleurs, « ils le lui ont clairement dit, sans porter de gants, sur fond de menaces à peine voilées », clarifie le journal.
D’une manière ou d’une autre, des zones d’ombres demeurent au sujet de cette découverte macabre. Pour des questions d’ordre politique on le suppose, doit-on sacrifier une vie humaine et chercher à en faire porter le chapeau à une tierce personne ? Que cache le silence du conseil communal, en l’occurrence le maire Jacques Dagoué qui au-delà de tout, est la première autorité de cette commune et qui se devait de réagir quel que soit le motif puisqu’il s’agit d’une vie humaine sacrifiée ? Celui qui a été appréhendé, est-il déjà passé aux aveux ? Autant de questions qui suscitent moult interrogations ?