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Le bras de fer entre la CEDEAO et le Mali n’est pas fini. L’organisation sous-régionale a décidé du maintien des sanctions qu’elle a prises contre le Mali et les autorités de la transition le 9 janvier dernier, en lien avec leur volonté de prolonger la transition d’une période allant de 6 mois à 5 ans. C’était lors de son sommet extraordinaire tenu à Accra ce vendredi.
Les conclusions du sommet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Accra, au Ghana, vendredi dernier ont abouti au maintien des sanctions contre le Mali. Ces conclusions consacrent donc le maintien de la fermeture des frontières des pays membres de la CEDEAO contre le Mali et des sanctions économiques. L’organisation sous-régionale campe sur le plafonnement de la transition dans un délai de 12 à 16 mois.
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Seulement, le maintien de ces sanctions économiques contrastent avec la décision de la cour de justice de l’Union économique et monétaire Ouest africaine (UEMOA) qui a ordonné la levée desdites sanctions, quoiqu’avec sursis. Pour rappel, ces conclusions tombent alors que la CEDEAO avait invité le président malien, Assimi Goïta audit sommet avant que celui-ci, n’annonce qu’il ne pourra pas participer.
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S’agissant de la Guinée, les chefs d’Etat ouest-africains ont regretté "le manque de visibilité sur la transition, affirmant que le calendrier de six mois pour la tenue des élections n’a pas été respecté. De plus, le calendrier de transition n’est toujours pas disponible, les priorités n’ont pas été fixées et peu de progrès ont été réalisés dans le processus", ajoute-t-on dans le communiqué.
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La CEDEAO "reste très préoccupée par la durée de la période de transition (36 mois), jugée trop longue". Elle a, en outre, exigé la libération du président burkinabè Roch Kaboré au plus tard le 31 mars 2022, précisant qu’au-delà de ce délai, des sanctions individuelles seront imposées aux autorités de transition, poursuit le communiqué final.
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