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Bénin : un homme qui aurait été battu par un curé, écrit à la Conférence épiscopale

L’investigateur 15/12/2020 à 13:21

Un homme battu devant son épouse par un Curé, a saisi la conférence épiscopale pour se faire entendre. La scène horrible indigne des enfants de Dieu a lieu à Abomey le 8 décembre dernier. Lisez le récit émouvant du mari au n’en peut plus.

LETTRE Ouverte À LA CONFÉRENCE ÉPISCOPALE DU BÉNIN

Attention : Monseigneur Eugène Cyrille HOUNDEKON, Évêque d’Abomey,

Le Curé m’a frappé à coups de lanière devant mon épouse... !

AU NOM DE LA VÉRITÉ,

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Pour le mardi 08 décembre 2020, Monsieur
DEGUENON Philippe a invité personnellement mon épouse Edwige résidant à Goho et non le couple Ghislain/Edwige sur la Paroisse Bon Pasteur d’Adandokpodji Abomey où il est Curé actuellement, pour a t’on dit une séance de prière de délivrance et de paix dans les ménages, familles en difficultés. Et pour cela, bien que deux de nos enfants faisaient une forte fièvre avec la toux depuis la veille, Madame sort de la maison ce mardi 08 décembre 2020 vers 5h30 du matin sans dire le moindre mot à son mari ni aux enfants sur sa destination, avec l’ordonnance prescrite par l’infirmier venu à domicile examiner lesdits enfants malades la nuit précédente. Ce mardi, de 05 h 30 le matin jusqu’au delà de 20h le soir où chauffaient encore les deux enfants malades, Madame n’a pas mis pied au foyer toute la journée pour voir leur état de santé et n’a appelé non plus pour en savoir quelque chose !

Je m’en vais donc à Bon Pasteur ce soir là, et je vois effectivement mon épouse dans l’Eglise au milieu de l’Assemblée. Je me dirige vers la Bergère du Renouveau charismatique Madame DAHOUNLITON Clémentine pour lui faire part du motif de mon passage : une mère ici qui a laissé depuis 5h30 ses sept (07) filles dont deux malades, sans demander leurs nouvelles jusqu’à cette heure ci... Bien que le Curé et ses proches, berger, bergère, soient informés de la situation critique des enfants, il a envoyé me ramener de la part de mon épouse un petit sachet de médicaments afin qu’en lieu et place de Madame j’aille aux chevets des enfants et qu’elle y reste pour continuer sa prière de délivrance. Je refuse de prendre ledit sachet de médicaments et je me retourne donc à la maison pour emmener les enfants malades à l’hôpital au Centre de Santé Vidolé d’Abomey.

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Jusqu’à 23 h, leur mère mon épouse n’a rien demandé du côté des enfants et a été gardée à l’église par le Curé jusque vers 00h où je reviens les surprendre dans l’enceinte de l’Eglise après le départ de l’Assemblée !

Tout furieux et tout scandalisé par la dureté de coeur tant de mon épouse que du Curé et de ceux et celles qui l’entouraient, j’entre dans l’église et j’interpelle le Curé et son staff sur l’attitude de cette mère épouse et surtout pour m’indigner du rôle joué ainsi par eux bergers/bergères/Curé...afin qu’Edwige mon épouse que je viens de voir à une heure aussi tardive encore sur les lieux, soit la seule fidèle ordinaire à attendre sur la paroisse, attendre quoi et qui bien après la fin du culte !

Sans rien me dire, Philippe D. le Curé, d’un geste de main, fait lever tout le staff et mon épouse, leur demandant de m’ignorer et sortir pour le suivre. Ils exécutent et je leur demande si ce qu’ils sont ainsi entrain de faire avec Madame et mes enfants est sérieux, humain et chrétien !

Philippe D. le Curé rétorque et me gronde vertement, vociférant en ces termes : << Ghislain, tu es un vaut rien, un impoli très mal éduqué, et comme ça, c’est normal que tu n’aies pas pu rester au Séminaire pour devenir Prêtre ! Tu ne pouvais pas finir le Séminaire. Sors vite d’ici. Sors immédiatement de mon église sinon je vais te corriger proprement... >>.

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Je refuse de sortir tant que Edwige mon épouse la mère de mes sept (07) filles, celle avec qui je me suis marié ici sur ce même autel le 31 janvier 2015 devant Dieu et son Église, mariage célébré par son Excellence, Monseigneur Clet FÊLIHO Évêque de Kandi, tant que ma femme qui me doit soumission et respect avant toi ne me suive pour aller aux chevets de ses enfants, surtout ceux malades.
" Monsieur Philippe, vas encore bien te renseigner : Ghislain LOKONON n’a pas été renvoyé du Séminaire et jamais je n’ai eu de mauvaise note de conduite avant ma sortie volontaire et libre du Séminaire. J’ai décidé tout simplement être un homme responsable, honnête, authentique et non hypocrite comme beaucoup d’entre vous qui font l’âne pour avoir le foin et qui une fois ordonnés et envoyés sur les Paroisses deviennent de véritables cas, des béliers habillés à qui il n’est plus facile de reprendre l’habit, et qui sortent après, tout leur numéro caché au Séminaire, contre les pauvres fidèles et parfois même contre leurs propres confrères dans le sacerdoce... Ceux qui ont vécu proches de ces genres de Prêtre savent bien ce de quoi je parle. J’ai écrit pour dénoncer un certain nombre de choses qui me scandalisaient, qui contrastaient avec la vision que j’avais du Séminaire quand j’étais au dehors. Mon Recteur qui m’avait reçu cette mémorable et longue nuit et tout dit pendant plus de cinq (05) heures d’horloge pour tenter me faire changer d’avis, alors Père ADJOU Martin actuellement Évêque de N’Dali est encore vivant et peut le confirmer.

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Il en est de même pour mon Père spirituel au Séminaire, Père Aristide GONZALO actuellement Évêque de Porto-Novo, mon oncle et tuteur Père au Centre Guy Riobé de Parakou qui était intervenu pour que je fasse quelques semaines de méditation sur ma vraie vocation au Monastère de Kokoubou (200 Km de Parakou), alors Père Clet FÊLIHO, plus tard Évêque de Kandi, et bien d’autres Pères AKANKOSSI Mathieu, TINDO Cyprien KINNOUME Jean, NANSY, LANMANTCHION Eric, pour ne citer que ceux là, qui peuvent encore témoigner que j’étais un séminariste brave, sérieux, honnête qui avait surpris plus d’un par ma décision irrévocable de quitter de moi même le Séminaire avec ma phrase vedette : " mieux vaut être mauvais chrétien que d’être mauvais Prêtre ..."

Ne pouvant plus se maîtriser face à cette lumineuse réplique aussi explicative que critique, Philippe DEGUENON le Curé intima alors l’ordre à la dizaine de fidèles présents autour de lui, de me frapper à mort et me sortir de gré ou de force de l’Eglise. Je lui disais que je ne sors pas tant que mon épouse ne me suive, et je suis allé m’asseoir sur un des bancs attendant la sortie de mon épouse. Et comme ses fidèles ne lui obéissaient pas, tel un lion enragé, Philippe D. le Curé rugit de l’autel pour venir vers moi me porter des coups lui-même, quand, dans son élan dévastateur, ses fidèles de toutes leurs forces le maîtrisèrent de manière à ce qu’il n’ait pu me toucher.

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A notre sortie de l’église, encore que j’étais dans la cour, je vois une voiture vitre teintée sortir du presbytère : c’était Philippe le Curé qui avait à bord comme unique passager, mon épouse Edwige toute seule assise dans la voiture de Monsieur le Curé qui, constatant encore ma présence sur les lieux, baissa le vitre et m’intima l’ordre une fois encore de vider les lieux. Il demande à nouveau aux fidèles présents de m’assommer et de me corriger proprement avant de me jeter dehors.
Curieusement, aucun d’eux n’avait obéi à son appel à la vindicte populaire* sur ma personne. Et il était obligé de descendre de la voiture pour se porter violemment vers moi afin de me frapper et me traîner dehors. Le Curé une fois de plus fut maîtrisé par ses ouailles qui de force l’ont bloqué net et arrêté dans sa progression vers la commission d’un délit de plus.
J’exige que mon épouse sorte immédiatement du véhicule sans quoi, le véhicule ne bougerait pas...

Monsieur le Curé, après avoir brutalisé fortement ceux et celles qui le tenaient à distance de moi, qui le mettaient héroïquement hors d’état de nuire, réussit tristement à s’échapper de leurs mains et bras, et retourne rapidement dans son presbytère, sa voiture toujours là en marche, ma femme toujours dedans à qui il demandait de ne point descendre.

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L’ instant d’après, Philippe DEGUENON le Curé, le "Soweto" de l’heure et des lieux, revient bruyamment avec en main UNE LANIÈRE pour venir me frapper à coups de lanière devant mon épouse toujours assise dans sa voiture et devant tous ceux qui y étaient. Tous déployaient toutes leurs forces pour le faire reculer afin de lui éviter une résistance fatale de ma part au cas où il me toucherait. Et c’est dans sa résistance spectaculaire comme un véritable bandit décidé à casser la baraque et me casser la gueule que sur mon insistance et celle de l’assistance, mon épouse descenda enfin de la voiture vitre teintée du Curé pour monter sur ma moto et me suivre contre l’ordre du prélat pugiliste, ceci à 00h plus, abandonné seul dans sa rage sur sa paroisse dont il disait être le propriétaire.

Mardi 08 décembre 2020, Philippe DEGUENON, Curé de Bon Pasteur Abomey a scandalisé plus d’un ! Incapable de se maîtriser et de calmer un père de famille en quête de l’ordre et de la paix dans son foyer, capable d’ordonner la vindicte

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populaire à l’église contre un fidèle baptisé, communié, confirmé, marié, capable de garder la femme d’autrui pendant plus de cinq (05) heures à l’église, dans son presbytère et dans sa voiture, capable d’être insensible à l’état de santé des enfants malades gardant leur mère et médicaments toute une journée toute une nuit, et le comble, Curé Philippe DEGUENON capable de frapper à coups de lanière devant son épouse, l’époux un enseignant de près de 30 ans de service, un Directeur d’Ecole, un responsable syndical SG National, un chanteur, Compositeur CCH, un ancien séminariste sur qui Philippe avait trois ans de plus au Séminaire, un père de famille père de huit enfants dont l’ainée atteint déjà la vingtaine d’âge, Philippe avait dans sa tête, dans son conscient et subconscient, quelle image, quelle conception du couple, de la famille, du rôle et de l’autorité, responsabilité de l’époux au foyer, et quel respect veut il que l’épouse ait demain pour l’époux qu’il frapperait à coups de lanière à l’église catholique romaine ?

Que reste t’il de la dignité et des droits de l’époux que le Prêtre frappe à coups de lanière devant fidèles et l’épouse ? Prenant ainsi la lanière pour frapper Ghislain Magloire LOKONON ancien enfant de choeur de Bon Pasteur, ancien marguillier, ancien choriste membre fondateur de la chorale des jeunes de Bon Pasteur, ancien Lecteur, ancien Maître catéchiste de Bon Pasteur Abomey, Compositeur Hanyé CCH, Directeur d’Ecole et Responsable national de syndicat d’enseignants, Philippe DEGUENON Prêtre d’une telle ancienneté, ignore t’il que le châtiment corporel est interdit au Bénin, formellement interdit même contre les tout petits enfants en République du Bénin ?

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Philippe DEGUENON Curé, a quel respect pour la famille Église domestique, quel respect et quelle considération pour les époux pères de famille dans la société et à l’Eglise catholique romaine notamment ?

Le titre de Père concédé à Philippe et à tous ses confrères Prêtres, lui confère t’il le droit, au nom de quelle disposition du droit canon, de séquestrer ainsi l’épouse régulièrement mariée à l’Eglise catholique romaine pendant plus de cinq (05) heures d’horloges, de traiter ainsi l’époux devant son épouse comme un vil et vulgaire individu, un malfaiteur, comme son fiston, son esclave sur qui il a droit de vie et de mort ?

A sa prise de service en l’Eglise Bon Pasteur d’Adandokpodji Abomey, la lanière et son usage faisait elle partie des attributs qui lui étaient conférés en qualité de Curé ?

Philippe DEGUENON détruit douillettement les couples, pousse à la rébellion et à l’insoumission totale des épouses contre leurs époux au foyer ! Sinon, de quels droits peut il se prévaloir en tant que Prêtre pour appeler à tout moment, où et quand il veut les épouses des hommes qu’il humilie ainsi comme LOKONON, qu’il défie et à qui il dénie la qualité de Chef de Famille, chef de la femme tel le Christ est le Chef de l’Eglise selon les Saintes Écritures ?

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Philippe doit aller à l’école de ses devanciers, revisiter son cahier de charges, se l’approprier, rendre sans délai à l’Evêque du Diocèse d’Abomey LA LANIÈRE qu’il a sorti le mardi 08 décembre 2020 pour frapper un homme marié devant son épouse qu’il garda dans son église, dans son presbytère, dans sa voiture vitre teintée pendant plus de cinq (05) heures d’horloge, et ce jusqu’au delà de 00h pour une destination toute autre que le domicile conjugal où dort l’époux déjà humilié, chosifié, inexistant à ses yeux !

Si le comportement, les agissements de Philippe DEGUENON Prêtre, ainsi dénoncés en partie, ne suffisent peut être pas pour affirmer que nos Prêtres, Pasteurs et Bergers ne méritent pas le titre de Père, la situation déplorable et déplorée ainsi décrite, interpelle plus d’un et nous renvoie à la méditation permanente de ce passage biblique, de cette évangile où le fils de Dieu notre Seigneur Jésus-Christ nous disait de n’appeler Personne Père sur cette terre si ce n’est Dieu le Créateur lui-même ! Si ce titre honorifique de Père devrait servir de prétexte aux Prêtres d’aujourd’hui, à certains Prêtres comme Philippe DEGUENON pour se permettre les dérives du genre, tous les abus possibles contre l’harmonie des familles, la dignité, la liberté et l’épanouissement des hommes, femmes et enfants qui constituent la famille, cellule de base de toute société, l’Église domestique, le Vatican doit commencer par se demander s’il n’a pas mal fait de faire appeler ainsi ces hommes Prêtres, Pères à défaut de le leur retirer et se conformer strictement à la Parole de Dieu, Parole du fils Jésus-Christ notre Seigneur et notre Sauveur !

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Au regard de tout ce qui précède, il est loisible de reconnaître que Philippe DEGUENON Prêtre est une véritable menace pour l’ordre, la stabilité, l’harmonie dans les ménages où pour lui, l’homme n’est point le chef de la famille, l’homme n’a guère aucune autorité sur son épouse qui peut sortir comme elle veut, quand elle veut et avec qui elle veut, rentrer à la maison, au domicile conjugal à l’heure de sa convenance à défaut de découcher ! Et c’est fort de cette redéfinition du rôle et de la place de l’homme au foyer que Monsieur Philippe DEGUENON, Monsieur le Curé peut se permettre de décréter lors de ses prédications l’égalité parfaite entre l’homme et la femme dans un ménage et déclarer que l’épouse peut elle aussi sortir avec autre homme que son mari si elle réalise que ce dernier, que son époux lui est infidèle.

Au nom de toutes ces considérations, Philippe peut exiger la présence des femmes à l’Eglise , trois, quatre, cinq jours sur sept, pour y rester à des heures tardives la nuit, si possible y dormir avec lui sans le consentement de leurs époux respectifs, sans le soucis de l’accomplissement de leurs obligations conjugales de mères et d’épouses dignes au foyer.

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Pour preuve, la semaine du lundi 07 au dimanche 13 décembre 2020, enfants et époux sont laissés par l’épouse pour répondre à l’invitation du Curé Philippe DEGUENON Mardi, Mercredi, Jeudi, de 19h à tard dans la nuit en dehors des samedis, dimanches où déjà, elles sont souvent sur la paroisse. La semaine qui immédiatement suit, ces mères de famille et épouses sont encore invitées par le Curé pour être avec lui chaque soir du lundi 13 au jeudi 16 décembre 2020 à partir de 20h pour finir tard dans la nuit à une heure incertaine ! La femme, la mère, l’épouse qui quitte l’atelier, le service ou le marché vers 18h, 19h et qui doit répondre ainsi à l’appel du Curé déjà à 20h pour ne revenir que tard dans la nuit dispose t’elle de quel temps raisonnable pour s’occuper convenablement de ses enfants et de son époux ? Et surtout lorsque le communiqué du Curé Philippe DEGUENON n’invite pratiquement et spécialement que la femme épouse au foyer à qui il recommande uniquement l’accomplissement du devoir de mère envers les enfants (et non celui d’épouse) pour le rejoindre avec ou sans le consentement de l’époux dont le droit, le pouvoir ne compte pas pour la femme devant celui du Curé qui se fait Dieu selon la lettre et l’esprit du communiqué de Philippe qui est lu et traduit en fongbé le dimanche 13 décembre 2020 à la messe de 7h, que reste t’il comme contenu à la qualité de chef de famille qu’incarne l’homme d’après la tradition, la loi et les Saintes Écritures ?
Cette église de Philippe Curé qui ne fait aucune obligation de soumission de l’épouse à son époux, a t’elle déjà accordée à la femme en son sein la place d’égale à égal à l’homme ainsi en institution au foyer, dans la famille ?
Qu’attend elle depuis des lustres pour ordonner la première femme Prêtre de l’Eglise catholique romaine ? Et pourquoi Jésus-Christ lui-même le juste des justes n’a t’il pas choisi une seule femme parmi ses douze disciples si tant est que la femme reste égale à l’homme à tout point de vue, l’épouse égale à l’époux à tout point de vue ?

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Que l’Eglise commence par élever la femme au rang de Prêtre, d’Evêque, de Cardinal et pourquoi pas de Pape et les hommes mariés le feront autant jusqu’à porter la grossesse en lieu et place de la femme ! Laissons la femme à la place où Dieu l’a mise, et l’homme à la place qui est providentiellement la sienne ! N’abaissons ni l’un pour élever l’autre ! Mais restons ce que nous sommes d’après les Saintes Écritures !

Son Excellence Monseigneur Eugène Cyrille HOUNDEKON, Évêque du Diocèse d’Abomey, Secrétaire de la Conférence Épiscopale

Excellences Messeigneurs, Évêques membres de la Conférence Épiscopale du Bénin

Sa Sainteté Pape François et le Vatican

QU’IL VOUS PLAISE DE RETIRER SANS CONDITION, DILIGEMMENT À PHILIPPE DEGUENON PRÊTRE, CURÉ DE LA PAROISSE BON PASTEUR D’ADANDOKPODJI ABOMEY, LA LANIÈRE QU’IL A SORTIE LA NUIT DU MARDI 08 DECEMBRE 2020 POUR FRAPPER, CHICOTTER LE PRÉCIEUX ET PRESTIGIEUX SACREMENT DE MARIAGE QU’EDWIGE ET GHISLAIN SE SONT DONNÉS EN L’ EGLISE BON PASTEUR D’ABOMEY LE 31 JANVIER 2015 DEVANT MONSEIGNEUR CLET FÊLIHO, EVÊQUE DE KANDI, SACREMENT QUE RIEN N’EFFACE, UNION QUE RIEN NE SUPPRIME, NE DÉTRUIT, NE SÉPARE SUR CETTE TERRE QUELQUES SOIENT LES EMBUCHES, LES PÉCHÉS OU ERREURS DES UNS ET DES AUTRES !
LE SACREMENT DE L’ ORDRE NE PEUT ET NE DOIT JAMAIS, AU GRAND JAMAIS, RABAISSER À CE POINT CELUI DU MARIAGE ; CAR, SANS LE SECOND, LE PREMIER POINT N’EXISTERAIT, OU EN VAIN EXISTERAIT !

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Ne pas le faire, discipliner ou ramener Philippe DEGUENON Curé à l’ordre suite à ces agissements, à ces scandales, c’est le laisser plus tard rejoindre son confrère Mathias VIGAN, le mal de Banamè, l’autre mal de l’ Eglise qui prit Femme pour Dieu le Créateur du Ciel et de la terre !...

Une si longue lettre de Bidossessi Ghislain Magloire LOKONON,
Abomey, le 14 décembre 2020.



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