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Dans un avis daté du 15 août dernier, le Groupe de Travail sur la Détention Arbitraire (GTDA) des Nations Unies a exigé la libération du constitutionnaliste Joël Aïvo, incarcéré pour blanchiment de capitaux et atteinte à la sûreté de l’État.
Le Groupe de Travail des Nations Unies (GTDA) vient en aide à Joël Aïvo, ancien directeur de cabinet de l’ex-président du parti Arc-en-Ciel, Me Adrien Houngbédji. Dans une décision rendue en août dernier, le GTDA exige sa libération et demande des compensations financières, estimant que sa détention est arbitraire et viole plusieurs articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Le GTDA de l’ONU appelle donc à sa libération. En vertu du droit international, il réclame également une indemnisation financière pour Aïvo.
Cette décision repose sur les analyses du GTDA, effectuées à partir des informations relatives au procès du professeur, condamné à 10 ans de réclusion criminelle. Saisi le 1er janvier 2024, le gouvernement béninois n’aurait pas pu, selon le GTDA, fournir des preuves adéquates dans le délai requis.
Faut-il le rappeler, le GTDA réclame également des sanctions à l’encontre des autres de l’incarcération du Constitutionnaliste qu’il juge d’ailleurs arbitraire.
Lire aussi : [Bénin : les revendications clés du Cadre de concertation des partis d’opposition))>https://www.linvestigateur.info/?Benin-les-revendications-cles-du-Cadre-de-concertation-des-partis-d-opposition&var_mode=calcul]
Candidat écarté de l’élection présidentielle d’avril 2021, Joël Aïvo a été arrêté le 15 avril à Godomey-Togoudo, en périphérie nord de Cotonou, la capitale économique du Bénin, alors qu’il revenait de l’université. Cela s’est produit au lendemain de l’annonce de la réélection du président Patrice Talon avec plus de 86 % des voix. Inculpé, l’ancien doyen de la faculté de droit et de sciences politiques de l’Université nationale du Bénin a ensuite été incarcéré à la prison de Cotonou.
Mis en examen et détenu, le professeur avait été condamné en décembre 2021 à 10 ans de réclusion criminelle pour "complot contre la sûreté de l’État" et "blanchiment de capitaux". Il a déjà passé plus de trois ans derrière les barreaux.
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