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Bénin : Dossi réagit à la lutte contre la cybercriminalité et fait une proposition

L’investigateur 5/03/2023 à 08:37

La lutte contre la cybercriminalité est au cœur des débats depuis quelques jours. Surtout chez les acteurs du showbiz béninois. Outre Vano Baby, Togbè Yéton et autres artistes, c’est le tour de Dossi La Princesse de s’inviter dans ce débat qui ne fait que commencer.

En effet, c’est à travers un post en date du vendredi 03 mars que l’artiste chanteuse Dossi a opiné sur le sujet qui a trait à la lutte contre la cybercriminalité. Selon son analyse sur la lutte contre la cybercriminalité, « Aucun Gouvernement du Bénin fut-il ventilateur, voyou ou tout ce que vous voulez encore moins celui du président Patrice Talon ne peut encourager ses enfants dans cette ligne de l’arnaque via le net. Ceci étant, quel problème règle cet argent auprès de nos jeunes si ce n’est de les rendre arrogants dépensiers et surtout hors de portée », a écrit l’artiste. Plus loin elle soutient que « … des autorités, que dis-je des personnes insoupçonnables en cravate toujours tirées sont dedans et n’ont pas d’autres activités si ce n’est les façades. »

Lire aussi : Togbè Yéton  : réaction du rappeur masqué à l’interpellation des présumés cybercriminels

Comme piste de solution pour faire prendre conscience aux jeunes qui délaissent l’école et s’adonnent au métier de la cybercriminalité, la Princesse Dossi souhaite la sensibilisation. « Je propose plutôt une campagne de conscientisation à l’endroit de cette couche… »,suggère-t-elle. Sans se voiler la face, elle reconnaît que dans chaque famille au Bénin existe un cybercriminel. Donc, l’OCRC qui veille déjà au grain peut poursuivre les traques. « De toutes les façons, à y voir de très près chaque famille aujourd’hui au Bénin compte au moins un cybercriminel. Ceux qui ont déjà trouvé un peu dedans reconvertissez-vous. Pour les autres chaque travail à ses risques et périls donc vous êtes les souris et l’OCRC le chat », insiste-t-elle.
Le phénomène faut-il le rappeler, prend d’ampleur en dépit de la veille permanente de l’Office Central de répression de la cybercriminalité (OCRC).




 
 

 
 
 

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