Au terme de trois semaines de scandale, après le baiser forcé à Jenni Hermoso, lors du sacre de l’équipe féminine de l’Espagne à la Coupe du monde, Luis Rubiales a annoncé qu’il présentera sa démission de la présidence de la Fédération royale espagnole de football (RFEF).

L’affaire liée au baiser forcé à la joueuse, Jenni Hermoso de l’équipe féminine d’Espagne, par son président lors du sacre de l’équipe, a fini par emporter le dirigeant. Dans un entretien accordé au journaliste de télévision anglais Piers Morgan il a déclaré. « À propos de ma démission, oui, je vais le faire, oui, parce que je ne peux pas continuer mon travail », a-t-il dit. Une déclaration qui intervient des semaines après l’éclatement de cette affaire. Il a toujours assuré que le baiser était le fruit d’un consentement mutuel, et avait violemment fustigé les « fausses féministes » qui étaient montées au créneau pour dénoncer une agression sexuelle de sa part.

Lire aussi : [Baiser forcé de Rubiales :début d’une grève de la faim de sa mère pour dénoncer « une chasse inhumaine »>https://www.linvestigateur.info/?Baiser-force-de-Rubiales-debut-d-une-greve-de-la-faim-de-sa-mere-pour-denoncer&var_mode=calcul]

On savait qu’il était sur un siège éjectable depuis son « baiser forcé » en mondiovision envers l’une des championnes du monde espagnoles, Jenni Hermoso, le 20 août dernier. Ce dimanche, Luis Rubiales, sous le coup d’une sanction de la FIFA depuis le 26 août et pour 90 jours, a fini par annoncer qu’il allait démissionner de son poste.