Société
Santé : éjacul@tion précoce, quand (…) 11 juillet 2025Inter
Sénégal : Ousmane Sonko critique le (…) 11 juillet 2025Société
Comlan Hugues Sossoukpè : ce qui est (…) 11 juillet 2025Inter
Sénégal : l’étau se resserre autour (…) 11 juillet 2025Inter
Tout se complique pour l’ancien président du Niger, Mohamed Bazoum. Accusé de « crime de trahison » par les militaires au pouvoir, l’ex-dirigeant pris en otage, ne détient plus d’immunité. Il passera sous peu devant la justice.
Créée en novembre 2023 par le régime militaire, la Cour d’Etat du Niger, a levé l’immunité du président déchu Mohamed Bazoum. C’est ce vendredi 14 juin 2024. Ce détail important dans la crise nigérienne, ouvre la possibilité de la tenue d’un procès pour le président déchu le 26 juillet 2023.
M. Bazoum est gardé dans des conditions jugées impossibles par ses proches dans la résidence présidentielle avec son épouse, Hadiza. A l’issue de l’audience de vendredi, Ould Salem Mohamed, l’un de ses avocats, a déclaré « prendre acte de la décision » et déclaré que le collectif des avocats de l’ex-président allait communiquer « incessamment ».
Lire aussi : [Crise Bénin-Niger : la diplomatie béninoise a bafoué deux principes fondamentaux du droit international selon Azannaï)>https://www.linvestigateur.info/?Crise-Benin-Niger-la-diplomatie-beninoise-a-bafoue-deux-principes-fondamentaux&var_mode=calcul]
Il est poursuivi pour « complot d’attentat à la sécurité et l’autorité de l’Etat », « crime de trahison », « faits présumés d’apologie du terrorisme » et « financement du terrorisme ». Son crime est d’avoir discuté au téléphone avec le président français, Emmanuel Macron, et le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, pour qu’ils l’appuient « par une intervention armée » après le coup d’Etat de 2023.
Pourtant, la Cour de justice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), avait ordonné sa libération en décembre 2023. En janvier dernier, le Niger a quitté la Cédéao pour rejoindre ses pairs du Mali et du Burkina Faso qui ont créé l’Alliance des Etat du Sahel (AES). Sans remettre en liberté bien sûr, son ex-dirigeant.
Inter
Sénégal : Ousmane Sonko critique le président Bassirou Diomaye Faye (détails) 11 juillet 2025Société
Comlan Hugues Sossoukpè : ce qui est reproché au web-activiste arrêté en (…) 11 juillet 2025Société
Comlan Hugues Sossoukpè déposé en prison, des précisions sur son lieu de (…) 12 juillet 2025Inter
Sénégal : l’étau se resserre autour du Premier ministre Ousmane Sonko, sa (…) 11 juillet 2025Société
Hugues Comlan Sossoukpè arrêté à Abidjan et extradé vers le Bénin 11 juillet 2025Abonnez-vous et recevez chaque semaine, notre sélection d'articles de la semaine.