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Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, les militaires au pouvoir au Burkina Faso n’hésitent plus à enrôler des civils de tout acabit pour aller au front. Après les civils et journalistes, c’est le tour des magistrats d’être enrôlés.
En effet, des magistrats viennent de faire l’amère expérience en tout cas. Car, une note du commandement de l’armée nationale du Burkina Faso publiée le 9 août 2024, renseigne que quatre (4) magistrats dont deux procureurs ont été réquisitionnés pour « participer aux opérations de sécurisation du territoire auprès du groupement des Forces de Sécurisation du Nord à Kaya.
La note précise que la période va être étalée sur trois mois, c’est-à-dire du 14 août 2024 au 13 novembre 2024 renouvelable. »
Lire aussi : [Niger :les autorités interdisent une mission d’évaluation sécuritaire du PNUD)>https://www.linvestigateur.info/?Niger-les-autorites-interdisent-une-mission-d-evaluation-securitaire-du-PNUD&var_mode=calcul]
Depuis que ce mode de fonctionnement est adopté au Burkina Faso, des voix s’élèvent pour accuser le régime du capitaine Ibrahim Traoré.
Pour certains observateurs, cette décision émane du fait que ces 4 magistrats réquisitionnés ont pris des décisions contre des proches du pouvoir.
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